« Je pense vraiment que ces efforts doivent être étendus et partagés. Je dis toujours à tout le monde que ces personnes m’ont sauvée. Je m’en sortais à peine avant de découvrir le RPHN, même avec du soutien en santé mentale. C’était la communauté dont j’avais besoin sans le savoir. »
« Savoir qu’il y a des gens en dehors de ma famille et de mes amis à qui je peux parler et demander conseil m’aide. D’une certaine manière, c’est comme avoir une autre famille… on finit par créer des liens avec les personnes lors de chaque séance. »